Tu nous aimais, Chère Geneviève et nous t’aimions en t’admirant.
Comment ne pas être bouleversée par ton départ si soudain. Mardi soir 20 mars, tu me téléphonais afin que nous puissions convenir d’une rencontre en avril et ton appel m’a rendue pleinement heureuse de cette belle joie que des êtres lumineux comme toi savaient diffuser. Nous devions partager une soirée ensemble dans mon arrondissement, le 20e. Nous avons échangé sur ta vie que tu organisais un peu différemment depuis ta retraite et aussi sur les personnes qui nous sont chères, ta famille, ta Maman sur laquelle tu veillais régulièrement, et sur ma famille et nos amis communs. J’ai senti chez toi une plénitude sereine que tu as su me communiquer. Il reste ce souvenir poignant sans retour possible, mais je sais que tu veilles sur nous tous.