C’est avec stupéfaction que j’ai appris vendredi le décès de Geneviève Jomier. Quelle triste nouvelle alors qu’elle venait à peine de prendre sa retraite. Je n’avais d’ailleurs pas pu me rendre à Paris à l’occasion de la petite fête organisée en son honneur même si j’avais longuement hésité. Je le regrette d’autant plus aujourd’hui.
Ancienne élève de l’IUP GMI promo 2000, je garde un souvenir particulier de Mme Jomier. En tant que directrice, ce petit bout de femme tenait d’une main de fer l’IUP ce qui a sûrement conduit à son succès. Comme professeur, elle était exigeante tout en étant bienveillante. Grâce à elle, j’ai également pu réaliser ma dernière année d’IUP au Canada. Elle s’est démenée pour que cela soit possible.
De plus, j’avais un lien particulier avec Geneviève Jomier puisque ma mère, Simone Toussaint, a grandi dans le même quartier qu’elle en Lorraine. Ma mère, mon oncle et ma tante se souviennent bien de la famille Jomier dans la cité d’Hagondange. Ma tante Monique était d’ailleurs très amie avec sa soeur.
Je n’avais pas revue Geneviève depuis ma remise de diplôme en 2000. Mais c’est avec une grande tristesse que j’ai appris son décès soudain. Je tenais donc à vous présenter toutes mes condoléances dans ces moments douloureux. Je serai en pensée avec vous demain et après-demain pour ces derniers moments passés avec elle.
Florence Delubac