J’ai été le professeur de Geneviève, en math et informatique, à la faculté des sciences de Nancy. Lorsqu’elle nous a quittés pour Paris et l’université Dauphine, j’ai suivi de loin son brillant épanouissement scientifique. J’ai aussi toujours apprécié son engagement pour les personnes en difficulté sociale. Je suis donc bouleversé de son départ brutal et je m’unis par la pensée à la célébration de ses obsèques.
Claude PAIR